Noémie Sanchez
Je m’appelle Noémie, j'ai 27 ans et je suis UX designer en Freelance depuis maintenant 2 ans.

Ce freelance est sociable !

✌️ Expérience

2 ans

🤑 Taux Journalier Moyen

240€

🕚 Heures travaillées / semaine

35h

📍 Localisation

Grenoble

Compétences

UX designer, directeur artistique, graphiste, illustrateur, UI Designer, webdesigner

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Noémie Sanchez « Ce qui m’a motivée à me lancer, c’est surtout l’ennui que je ressentais dans un travail classique »

Peux-tu te présenter, nous parler de ton expertise, ce que tu proposes à tes clients ?

Je m’appelle Noémie, j’ai 27 ans et je suis UX designer en Freelance depuis maintenant 2 ans.

L’expertise UX que je propose s’appuie sur des méthodes de conception et ces méthodes ont pour point de départ l’utilisateur avant tout. Mon but principal est de comprendre au mieux l’utilisateur afin de proposer une solution adaptée et fluide et pour cela, je me sers de leviers phares dans mon expertise UX : l’analyse, la conception et l’évaluation. Je passe énormément de temps à étudier le comportement et les besoins de l’utilisateur via des études, des interviews, et la construction de personas pour ensuite mettre en forme ce que je recueille dans l’amélioration ou dans la proposition d’un parcours cohérent auquel je donne vie petit à petit grâce au maquettage.

Quand t’es-tu lancé en freelance et qu’est-ce qui t’a motivé à te lancer ?

Alors, ce qui m’a motivée à me lancer, c’est surtout l’ennui que je ressentais dans un travail classique. Je travaillais dans une atmosphère peu évolutive et peu variée, avec la volonté et l’envie d’avoir un emploi du temps adapté à moi et non l’inverse comme on peut le trouver dans un la plupart des emplois classiques. J’avais envie d’avoir une main sur les projets dans lesquels je m’investis et j’avais besoin de me challenger professionnellement. Je pense que cette activité est née avec le désir de vouloir tester mes limites et de divertir mes champs de compétences.

Quelle a été ta plus grosse « galère » en tant que freelance ?

Alors, il y a parfois les petites galères de tous les jours, un logiciel qui plante et d’autres mésaventures. Mais je dirais que la plus grosse galère, ce serait d’avoir à un moment donné mal calculé le nombre de missions que je pouvais accepter et de me retrouver sous l’eau sans pouvoir forcément déléguer à qui que ce soit. C’est assez difficile de jauger sa quantité de travail au début et je me souviens avoir vécu un mois ou deux très sportifs.

Si tu pouvais t’adresser à ton toi des débuts, celui qui venait de se lancer, quel conseil lui donnerais-tu ?

Je pense que quand on se lance, on a besoin d’être rassuré, car cela paraît aussi compliqué que l’Everest à monter. Il y a beaucoup de nouveautés, que ce soit la charge administrative, le démarchage et le travail à effectuer et on veut que tout soit opérationnel et rentable immédiatement. Ce qui me ferait dire à la « moi » du début : ne soit pas trop pressée.

Comment te vois-tu dans 10 ans ? Toujours freelance, tu lances ta boîte ou bien retour à un bon vieux CDI ?

Dans 10 ans, je n’ai pas vraiment d’idée en tête ou d’objectifs précis, mais à l’heure actuelle, ce que je pourrais imaginer et qui me plairait, ce serait de collaborer dans un studio créatif. Un studio où on entremêle nos compétences pour assurer des services à des clients et en même temps développer des produits qui pourraient nous tenir à cœur. Le must serait que ce studio soit composé de personnes proches de ma manière de travailler, ou chacun resterait très indépendant sur son travail et ses passions, car il me semble difficile de retrouver un statut classique une fois que l’on a goûté à la liberté de Freelance.

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