Lorsque vous décidez de recruter un consultant informatique freelance, celui-ci peut rejoindre les locaux de votre entreprise le temps d’une mission plus ou moins longue ou l’effectuer à distance, depuis son domicile ou le lieu (coworking…) où il travaille habituellement : c’est le télétravail, souvent appelé remote dans les entreprises tech.
Pour beaucoup, le télétravail est un blocage. Vous avez peut-être déjà refusé de travailler avec un développeur freelance remote, simplement car il n’était pas dans la même ville, le même pays ou le même fuseau horaire.
Pourtant, la collaboration à distance peut être bénéfique pour le freelance comme pour l’entreprise. Voici 4 idées reçues sur le freelance en remote, et comment les combattre !
Idée reçue n°1 : manque de productivité
Une étude publiée par la Harvard Business Review l’a prouvé : les employés en télétravail sont en moyenne 13,5% pourcent plus productifs que leurs pairs restés au bureau. Les raisons ? Moins de bruit, pas d’open space, moins de distractions…mais aussi une productivité boostée par le fait que les travailleurs restés à la maison travaillent souvent de plus longues heures qu’au bureau !
Pour vous assurer de la productivité des travailleurs remote, veillez à minimiser les distractions (Slack peut en faire partie !) et à encourager la collaboration en temps réel (notamment via des outils de collaboration en ligne).
Idée reçue n°2 : perte de culture d’entreprise
Les mêmes idées reviennent souvent à propos des travailleurs à distance, notamment s’ils sont freelance :
- Les télétravailleurs ne partagent pas la culture et les valeurs de l’entreprise
- Les télétravailleurs ne s’intègrent pas aussi bien que leurs collègues onsite
- Les télétravailleurs sont moins fiables que leurs collègues
Et c’est souvent faux ! Les télétravailleurs et les freelances ayant l’expérience du remote ont souvent développé d’excellentes qualités relationnelles et communicationnelles pour s’intégrer à leurs équipes à distance.
Pour vous assurer de leur intégration, il est important de bien comprendre la personnalité et l’expérience de la personne que vous recrutez en interview, de promouvoir les outils de communication interne et surtout de cultiver une culture de transparence qui ne laissera pas vos remote sur le bas-côté en terme d’information, même s’ils sont freelance !
Idée reçue n°3 : manque de communication
Évidemment, il est plus facile de communiquer au sein d’une équipe qui déjeune ensemble tous les midis ou se croise à la machine à café. Mais avec un peu d’organisation, la communication avec un développeur freelance remote peut s’avérer aussi facile qu’avec n’importe quel autre membre de son équipe.
Si plusieurs de vos collaborateurs se trouvent dans des fuseaux horaires différents, veillez à toujours savoir qui se trouve où et à quel moment. N’hésitez pas à faire des calls fréquents, même s’ils ne sont pas immédiatement nécessaires (sans pour autant nuire à la productivité du freelance) ! Soyez clair dans vos attentes en termes d’horaires et de disponibilités, et enfin, intégrez bien vos travailleurs remote à tous vos meetings en les prévenant clairement à l’avance de l’horaire et de l’agenda.
En conclusion
Sur place ou en remote, un développeur freelance ne sera un véritable atout pour votre entreprise que si vous faites l’effort de l’intégrer à 100%. Les barrières « mentales » du télétravail s’effacent peu à peu et la collaboration ne devrait pas être plus difficile de cette façon !
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