Peux-tu te présenter, nous parler de ton expertise, ce que tu proposes à tes clients ?
Stéphane Pollak : Depuis plus de 15 ans, j’interviens pour des mutuelles et des assureurs sur des sujets liés au digital, et à la relation client. Couteau Suisse, j’accompagne les DSI et les Métiers dans leurs projets de refontes et d’innovation en m’adaptant à leurs méthodes et leurs contextes. Pour illustrer, ces 3 dernières années, je suis intervenu en tant que Product Owner dans le cadre de la refonte d’un Espace Adhérent et en tant que chef de projet transverse DSI pour la mise en place d’une nouvelle offre Santé.
Quand es-tu devenu Freelance, et pour quelle(s) raison(s) ?
Stéphane Pollak : Je suis devenu Freelance en 2015 pour pouvoir participer à un projet dans le domaine de la Santé. En effet, un ancien collègue et ami m’avait proposé d’intervenir sur ce sujet mais il ne recrutait pas, ni ne passait par des ESN. Voulant être embarqué dans cette aventure, j’ai fait le grand saut vers le Freelancing.
Comment trouves-tu tes clients ? Démarchage, recommandations, plateformes … ?
Stéphane Pollak : Je passe par 3 canaux: le réseau, LinkedIn et les plateformes comme FreelanceRepublik. Je n’hésite pas à relancer d’anciens collègues, car ils sont les meilleurs prescripteurs auprès de leurs sociétés ou clients.
De quelle manière FreelanceRepublik t’a accompagné dans ta recherche de mission ?
Stéphane Pollak : En premier lieu, la plateforme propose beaucoup d’offres ce qui est un gros avantage. De plus, j’apprécie le suivi des équipes ce qui différencie FreelanceRepublik des autres plateformes.
Quelle a été ta plus grosse « galère » de freelance ? Comment as-tu géré ça ?
Stéphane Pollak : Pendant la période de COVID, mon client a voulu me réduire la voilure ce qui ne m’arrangeait pas en termes de trésorerie. Pour me sortir de la situation, je me suis trouvé d’autres missions dans d’autres directions avec qui j’avais pu collaborer précédemment.
Quel(s) conseil(s) donnerais-tu à ceux qui se lancent/ ou veulent se lancer ?
Stéphane Pollak : Le conseil que je peux donner est de bien se connaître: connaître ce que l’on veux faire et pas faire et ce que l’on sait faire ou pas faire. Cela permet d’éviter de s’embarquer dans une mission génératrice d’insatisfaction.
A côté de tes missions freelance, as-tu un/plusieurs side projet(s) qui te tient à cœur ?
Stéphane Pollak : Pour le challenge, j’ai fondé avec 2 associés une start-up pour créer une application d’aide à la rencontre dans ses lieux de sortie : InRealLife. L’idée est de sortir du virtuel des applications de dating et de recréer du lien social en se posant comme un anti-Tinder.
Comment te vois-tu dans 10 ans ? Toujours freelance, tu lances ta boîte ou bien retour à un bon vieux CDI ?
Stéphane Pollak : Je lance ma boîte mais dans un autre domaine 🙂
