Retranscription écrite de l’interview de Maëva Volmar
Quand est-ce que tu t’es lancé en freelance ?
Maëva Volmar : Alors, je me suis lancée il y a un an. C’était en début 2021. Depuis toujours en fait j’aime beaucoup être autonome, gérer mon environnement, gérer avec qui je travaille, etc.
Et aussi en alternant des moments de pause, ça doit être valorisé pour moi, d’avoir des moments de pause où on fait une introspection sur le travail qu’on est en train de faire.
Voilà, c’est vraiment cette autonomie qui me permet de me responsabiliser et d’évoluer plus rapidement que si j’étais par exemple en CDI.
Tu as trouvé facilement tes premiers clients ?
Maëva Volmar : C’est relatif. C’est relatif, alors pour moi quand j’étais en train de chercher c’était très long, mais après en rétrospective, en réfléchissant, ce n’était pas si long que ça, en fait ça m’a pris à peu près deux mois maximum pour trouver mon premier client, ma première mission.
Comment trouves-tu tes clients aujourd’hui ?
Maëva Volmar : Je réseaute beaucoup. Ça vient des plateformes professionnelles. Globalement donc autant sur des réseaux sociaux professionnels ou des plateformes sur lesquelles on peut trouver des missions. Du coup, au début, j’ai commencé vraiment en me focussant sur une plateforme.
Ensuite, j’ai élargi sur d’autres plateformes.
Combien de clients as-tu eus jusqu’à présent ?
Maëva Volmar : J’ai eu à peu près une dizaine de missions sur un an. Alors en général, je travaille un à la fois. Ça m’est arrivé une fois de faire deux missions en même temps, grave erreur.
De splitter son implication sur deux missions, c’est compliqué. Et en plus, surtout que j’ai des side-projects à côté aujourd’hui. Donc c’est un client et mon side-project.
Selon toi, quelle est la plus grande difficulté à laquelle doit s’attendre un freelance ?
Maëva Volmar : C’est de faire attention à la boulimie d’informations. Quand on se lance dans une nouvelle activité, on a peur de se lancer et du coup, on va chercher plein d’informations. C’est bien au début, pour avoir une base, mais à un moment, on peut être paralysé par trop d’informations.
Le plus important, c’est d’avancer et d’apprendre, et de, limite, d’aller vers l’erreur pour apprendre.
Qu’est-ce que FreelanceRepublik t’a apporté ?
Maëva Volmar : Alors c’est… des missions. Déjà des missions, un réseau et une communauté. Je trouve que c’est important de se regrouper entre freelances, d’avoir les mêmes valeurs, de s’entourer et d’avoir cette liberté de trouver les missions qui me correspondent.
Peux-tu compléter cette phrase : « Depuis que je suis freelance… »
Maëva Volmar : Je suis plus épanouie que jamais. Depuis que je suis freelance, je sais ce que je veux. C’est tout simplement ça, parce que je parlais du fait d’avoir du temps, de faire des introspections, voilà, je me connais mieux grâce à ça, grâce à ces moments de pause où je me suis posé des questions.
Globalement, les missions se sont bien passées, mais j’avais toujours des choses à améliorer. Donc, je sais ce que je veux et ça me permet de définir des critères pour m’épanouir au final.