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Pourquoi les freelances tech refusent vos missions en 2025 (et comment y remédier)

Les principales raisons de refus d’une mission par un freelance IT

Rémunération insuffisante ou proposition financière peu attractive

C’est l’une des premières causes de refus de mission par les freelances. Un tarif horaire trop bas ou un TJM en deçà des prix du marché incite le freelance à décliner l’offre — un taux horaire mal calibré reste, encore en 2025, la principale raison de refus d’un projet par les prestataires indépendants. Le freelance valorise sa juste rémunération et perçoit un budget trop serré comme un risque de travail sous-payé. Pour aligner vos propositions avec les standards actuels du marché, nous vous recommandons de télécharger notre Guide TJM 2025 : cette ressource, fondée sur les données vérifiées de 90 000 freelances IT, vous donne une vision claire des rémunérations pratiquées par profil, séniorité et région.

Périmètre de mission flou ou objectifs irréalistes

Si le projet manque de clarté (cahier des charges incomplet, objectifs mouvants) ou semble irréaliste dans ses ambitions, le freelance peut refuser. Un client dont la demande n’est pas bien définie ou techniquement infaisable crée de l’incertitude. Le freelance redoute de s’engager sur une mission vouée à l’échec ou susceptible de dériver constamment hors du cadre initial. Un cadrage insuffisant, des délais intenables ou des attentes floues sont autant de signaux d’alarme qui peuvent le pousser à dire non.

Compétences requises non maîtrisées par le freelance

Un freelance sérieux n’acceptera pas une mission pour laquelle il ne se sent pas qualifié à 100%. S’il estime que ses compétences techniques ne correspondent pas parfaitement aux besoins du projet, il préfèrera décliner plutôt que risquer l’échec. Ce refus est une preuve d’honnêteté professionnelle vis-à-vis du client (mieux vaut refuser que livrer un travail médiocre). Le freelance évite ainsi de compromettre la réussite du projet et sa propre réputation.

Manque d’intérêt du freelance pour le projet proposé

Même bien payé, un projet peut être refusé s’il est perçu comme peu stimulant ou éloigné des aspirations du freelance. Au fil de sa carrière, le freelance cherche des missions en phase avec ses centres d’intérêt, son expertise de prédilection ou son plan de carrière. Un projet jugé ennuyeux ou sans valeur ajoutée pour son portfolio aura plus de chances d’être décliné. Le freelance IT, souvent passionné par la tech, évitera par exemple une mission sur une technologie qu’il n’apprécie pas ou un secteur qui ne l’attire pas.

Incompatibilité de planning ou surcharge de travail

La disponibilité est un facteur clé. Si le freelance est déjà engagé sur d’autres contrats ou qu’on lui demande de commencer immédiatement alors que son planning est complet, il devra refuser la mission. Accepter une charge excessive nuirait à la qualité de toutes ses prestations en cours. De même, un projet à mi-temps contraignant alors que le freelance recherche du temps plein (ou inversement) peut entraîner un refus. La gestion de son agenda est cruciale pour un indépendant : il évite la surcharge et connaît ses limites, quitte à dire non pour préserver l’équilibre qualité délai.

Relationnel difficile ou manque de confiance envers le client

Le feeling compte : un freelance peut refuser de travailler avec un client dont il perçoit des signaux négatifs. Par exemple, un prospect peu organisé, aux retours brouillons, ou ayant une attitude désagréable ou irrespectueuse lors des échanges initiaux, entame la confiance. De même, un client au discours flou sur le projet ou réticent à contractualiser clairement peut inquiéter le freelance (peur des impayés, modifications incessantes, etc.). Si la relation de travail s’annonce conflictuelle ou compliquée dès le départ, le freelance IT préférera souvent passer son tour.

Désaccord avec les valeurs ou l’éthique du projet

Les freelances attachent de plus en plus d’importance aux valeurs. Un indépendant peut refuser une mission pour désaccord éthique – par exemple s’il juge que le projet va à l’encontre de ses convictions (projet peu écologique, secteur controversé) ou si la culture d’entreprise du client ne lui correspond pas. Dans le secteur tech, 59 % des freelances se disent prêts à refuser une mission si l’entreprise cliente n’est pas en phase avec leurs attentes en matière de diversité et d’inclusion​. De même, un manque d’engagement sur le développement durable ou une réputation sociale négative de l’entreprise peuvent motiver un refus, même si le contenu de la mission est intéressant.

Contraintes de travail trop restrictives (localisation, télétravail, horaires)

Enfin, des conditions d’exécution rigides peuvent conduire à un refus. Par exemple, un freelance IT habitué au télétravail refusera une mission 100% sur site éloignée de chez lui, ou avec des horaires incompatibles avec ses autres engagements. De nos jours, beaucoup d’indépendants valorisent la flexibilité ; une offre imposant des contraintes fortes (présence obligatoire très tôt/tard, astreintes week-end, déplacement prolongé) aura du mal à les attirer. Sauf cas exceptionnel, le freelance privilégie les missions dont les modalités sont compatibles avec son mode de vie et son organisation.

Comment éviter ces refus côté entreprise (bonnes pratiques)

Offrir une rémunération juste et compétitive

Pour convaincre un freelance IT d’accepter, l’entreprise doit proposer un budget cohérent avec le profil recherché et le marché. Il s’agit d’offrir un TJM attractif, ou au minimum négociable, en reconnaissant la valeur de l’expertise du freelance. Une rémunération équitable dès le départ montre au freelance que son travail est respecté, évitant qu’il ne decline la mission pour raison financière. Astuce : renseignez-vous sur les tarifs moyens pratiqués dans la spécialité visée et ajustez votre offre en conséquence, quitte à réduire le périmètre plutôt que d’offrir un prix dérisoire.

Définir clairement le besoin et le périmètre du projet

Définir en amont un périmètre clair, réaliste et partagé permet non seulement d’éviter les malentendus, mais aussi de maximiser les chances de succès global du projet. C’est d’ailleurs l’un des principaux leviers identifiés pour limiter les retards, les incompréhensions techniques et les abandons en cours de route. Un cadrage imprécis figure parmi les causes les plus fréquentes d’échec. Pour aller plus loin, vous pouvez consulter cette analyse détaillée sur les raisons pour lesquelles certains projets IT échouent — et comment réussir le vôtre en 2025 : elle vous aidera à structurer dès le départ une mission claire, pilotable et engageante pour un freelance.

Sélectionner un freelance adapté en compétences et expérience

Pour éviter qu’un freelance vous oppose un refus pour inadéquation de profil, ciblez dès le départ le bon prestataire. Identifiez les compétences techniques et sectorielles indispensables et sollicitez des freelances qui les possèdent réellement. Cela suppose également de structurer un process de sourcing rigoureux, en particulier dans des environnements complexes et à forts enjeux.

Mettre en avant l’intérêt et les perspectives du projet

Donnez envie au freelance de vous rejoindre ! Au-delà de la fiche de mission technique, valorisez ce qui rend votre projet attractif : son impact métier, les défis technologiques à relever, l’opportunité d’enrichir ses compétences, ou la visibilité du projet. Un freelance IT sera plus enclin à accepter une mission s’il la perçoit comme stimulante et valorisante (par exemple, travailler sur une nouvelle technologie, ou contribuer à un projet innovant dans son domaine). Communiquez votre enthousiasme, expliquez en quoi la mission est importante et ce qu’elle peut apporter au freelance (références, challenges, networking…). Un projet présenté sous un angle positif et motivant suscitera l’adhésion et réduira les refus par manque d’intérêt.

Faire preuve de flexibilité sur les conditions de travail

Montrez d’emblée que vous êtes ouvert aux aménagements. Si le freelance préfère le télétravail, envisagez une organisation hybride ou full remote lorsque c’est possible. Discutez des délais : pouvez-vous ajuster la date de début ou l’échéance si le freelance a un léger chevauchement de planning ? Soyez également flexible sur la charge horaire ou les horaires de travail, tant que les objectifs sont atteints. Cette souplesse prouve que vous respectez l’indépendance du freelance et évite de le braquer avec des exigences rigides. En adaptant vos conditions (dans des limites raisonnables pour le projet), vous augmentez significativement vos chances de le voir accepter la mission.

Instaurer une relation de confiance dès les premiers contacts

La façon dont vous échangez avec le freelance peut faire toute la différence. Soyez professionnel, réactif et transparent dans vos communications. Un freelance qui se sent écouté, à qui on fournit toutes les informations demandées et avec qui le courant passe bien sera plus enclin à vous dire oui. Évitez toute attitude pressante ou condescendante : traitez-le en partenaire et non en simple exécutant. Par exemple, proposez un entretien pour discuter du projet, écoutez ses questions et ses éventuelles suggestions. En établissant un climat de confiance respectueux mutuellement (y compris via un contrat clair), vous le rassurez sur la collaboration à venir. Une bonne relation naissante est le meilleur antidote aux refus pour cause de feeling initial négatif.

Communiquer la culture et les valeurs de l’entreprise

N’hésitez pas à mettre en avant vos valeurs d’entreprise et votre culture d’équipe dans la présentation de la mission. Un responsable achat IT qui souligne l’importance de l’éthique, de la diversité, ou de l’innovation au sein de son entreprise attirera les freelances partageant ces valeurs. Au contraire, si ces aspects ne sont pas évoqués, un freelance peut craindre un décalage culturel et refuser. Mentionnez par exemple vos engagements en matière de diversité et d’inclusion, ou encore des pratiques internes favorisant l’équilibre vie pro/vie perso. Cela peut faire la différence : de nombreux freelances choisissent leurs missions en accord avec leurs convictions personnelles. En communiquant sur ces points, vous rassurez l’indépendant que sa collaboration s’inscrira dans un environnement qui lui correspond, diminuant d’autant le risque d’un refus pour raisons éthiques ou culturelles.

Anticiper les besoins et consulter les freelances en amont

Enfin, planifiez vos recours aux freelances avec suffisamment d’anticipation. Un projet urgent lancé à la dernière minute réduit vos chances de trouver un freelance disponible. Pour éviter l’écueil du “désolé, je n’ai plus de créneau avant X semaines”, anticipez vos besoins : contactez les freelances en amont, même pour sonder leur intérêt préliminaire. Maintenez éventuellement un vivier de talents freelance avec qui vous avez déjà collaboré ou échangé, de sorte que le moment venu, vous ayez des contacts à portée de main. En étant proactif, vous pourrez mieux coordonner les agendas et éviter que les meilleurs profils ne vous échappent faute de timing. Cette anticipation limite fortement les refus liés aux conflits de planning.

(À noter : Dans l’étude Freelancing in Europe 2022, 78% des freelances français citent la liberté de sélectionner leurs projets et l’accord avec leurs valeurs comme avantages clés de leur statut.

Autrement dit, plus que jamais, ils font le choix de missions en adéquation avec leurs critères – à vous de jouer pour répondre à ces attentes.)

Que faire en cas de refus d’une mission par un freelance IT ?

Rester professionnel et chercher à comprendre le motif

Face à un refus, gardez une attitude professionnelle. Remerciez le freelance d’avoir considéré votre offre et demandez-lui, si possible, la raison de son refus. Sans être intrusif, vous pouvez montrer que vous comprenez sa décision et que vous souhaitez en tirer des enseignements. Par exemple, s’il invoque un budget trop juste ou un délai trop court, cette information vous sera précieuse pour ajuster le tir à l’avenir. Rester courtois et compréhensif maintient aussi une bonne relation : un freelance qui vous a refusé une mission aujourd’hui pourrait très bien accepter de travailler avec vous sur un autre projet plus tard, s’il garde une image positive de vos échanges.

Adapter son offre ou ses conditions si le contexte le permet

Tous les refus ne sont pas négociables, mais certains peuvent être retournés si vous êtes prêt à adapter vos conditions. Si un freelance de choix décline pour cause de conflit d’agenda ou d’exigences trop strictes, voyez s’il est possible d’assouplir votre offre. Par exemple, pouvez-vous décaler un peu le démarrage du projet pour l’attirer ? Augmenter légèrement le budget si c’était le point de blocage ? Réduire le scope ou accepter du temps partiel si sa disponibilité est limitée ? Montrez-vous ouvert à la discussion. Il n’est pas rare qu’un freelance hésitant finisse par accepter si le client fait un geste pour s’aligner sur ses contraintes. Bien sûr, cela n’est envisageable que si la mission le permet et que le freelance vaut vraiment ces ajustements. Dans le cas contraire, prenez acte du refus et tournez-vous sans tarder vers une alternative.

Faire appel rapidement à un autre freelance qualifié

Si le refus est ferme, ne laissez pas le projet en suspens trop longtemps. Activez votre plan B en contactant d’autres freelances qualifiés sur cette expertise. Idéalement, vous aviez présélectionné plusieurs candidats potentiels lors de votre recherche initiale. Si ce n’est pas le cas, remobilisez votre réseau, consultez votre plateforme de freelances habituelle, ou faites appel à une communauté de freelances IT pour trouver un profil disponible. La réactivité est importante : plus vous attendez, plus votre planning de projet en pâtit. Prévenez également le reste de l’équipe projet de ce contretemps et ajustez éventuellement les échéances internes. L’objectif est de remplacer au plus vite le freelance manquant pour éviter de prendre du retard.

Demander au freelance une recommandation d’un confrère

Un bon réflexe peut être de demander au freelance qui vient de refuser s’il connaîtrait quelqu’un de compétent dans son réseau à vous recommander. Les freelances IT ont souvent des contacts (anciens collègues, autres indépendants) dans leur domaine. S’il ne peut pas accepter la mission, il sera peut-être enclin à vous orienter vers un confrère de confiance. Pour vous, c’est tout bénéfice : vous gagnez un lead qualifié rapidement. Et du point de vue du freelance, c’est positif également, car il rend service à son client potentiel et à son pair sans se charger lui-même du projet. Certes, cette approche ne garantit pas un succès à tous les coups, mais elle vaut la peine d’être tentée, surtout lorsque le profil refusant est très pointu (il connaît probablement d’autres experts de son cercle susceptibles d’être disponibles).

Conserver le contact pour de futures collaborations

Un refus actuel ne signifie pas “jamais”. Si le profil du freelance vous intéressait particulièrement, assurez-vous de garder le lien pour l’avenir. Remerciez-le encore une fois de vous avoir répondu, dites-lui que vous comprenez sa décision, et que vous restez ouvert à collaborer avec lui sur de prochaines missions. Vous pouvez, par exemple, lui proposer de le recontacter dans quelques mois pour d’autres besoins correspondant mieux à ses disponibilités/compétences, ou lui demander s’il souhaite être tenu informé des avancées du projet (signe que son expertise est valorisée). En faisant cela, vous semez les graines d’une relation future : le jour où les planètes seront mieux alignées, ce freelance se souviendra de votre professionnalisme et sera plus enclin à travailler avec vous.

Tirer des enseignements du refus pour améliorer les prochaines missions

Enfin, chaque refus doit servir d’expérience. Analysez les raisons de ce refus une fois la situation gérée. Était-ce évitable de votre côté ? Par exemple, si plusieurs freelances vous disent non pour cause de budget, peut-être faut-il revoir vos grilles de tarifs ou votre manière de présenter la valeur du projet en interne pour obtenir plus de moyens. Si c’est le périmètre qui posait problème, peut-être faut-il mieux le définir ou le scinder. Faites un debrief avec votre équipe : qu’est-ce qui aurait pu être fait différemment pour que le freelance accepte ? Ces leçons vous aideront à peaufiner votre approche pour vos prochains recrutements de freelances IT. En améliorant continuellement vos offres de mission (conditions, sélection, communication), vous réduirez le taux de refus et sécuriserez davantage la réussite de vos projets.

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